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jeudi 23 septembre 2010

Avez-vous du « guts » à revendre ?




Qu’est-ce que ça prend pour partir en affaires ? Plusieurs experts vous répondront : « Des couilles, voyons ! » Très intéressant, mais quand tu n’en possèdes pas, quel est ton alternative ?



Bien sûr que cette expression, fort bien imagée, nous ramène au concept de virilité, de masculinité et signifie, en réalité, avoir du courage. Selon Wikipédia, « le courage est un trait de caractère qui désigne la capacité à surmonter la peur pour faire face à un danger. » Longtemps, on a cru que le courage était réservé aux hommes. Ceci était particulièrement vrai dans le monde des affaires. Et vous mesdames, à défaut de posséder les précieux « bijoux de famille » qui vous rendraient tellement courageuses, que faites-vous pour faire votre place en affaires ?



D’abord, on doit s’entendre sur une chose, avoir son entreprise et la faire croître, exige un certain minimum de courage, de « guts » comme diraient nos voisins du Sud. Mais, le « guts », ça se trouve où ? Peut-on trouver un « pusher » qui en vend sur le marché noir ou en commander en quantité industrielle sur internet ? Vous serez déçues d’apprendre que non !



Est-ce une question d’hérédité dans ce cas ? Naissons-nous courageuses ou pas, alors ? Personnellement, je crois que non. C’est une vertu que l’on développe au courant de notre vie. C’est quelque chose que l’on acquiert au gré des expériences que l’on vit. Mais, la vérité, c’est que c’est surtout une question de volonté.



Est-ce que je veux vraiment réussir ou je me contente de ce qui va arriver ? Est-ce que je reste dans ma petite zone de confort dans laquelle je suis si bien ou je saute en dehors ? Évidemment que c’est une question de « vouloir » ou de ne « pas vouloir ». J’ai beaucoup de difficulté avec le concept de timidité. Bien sûr que l’on a toute une personnalité différente. Certaines sont plus introverties et d’autres, plus extraverties. Être timide, c’est facile ! Cependant, il existe tellement d’outils et de ressources pour aller au-delà de tout cela.



Les livres, les cours, les ateliers de formation, le coaching et les activités de réseautage peuvent nous aider à passer par-dessus notre timidité ou notre manque de courage. Commencez à lire sur l’art de parler en public, prenez un cours de vente, trouvez-vous un coach et assistez à des rencontres de réseautage.



Mais surtout, agissez ! Ne restez pas dans votre coquille ! Et surtout, voulez ! Voulez réussir et atteindre vos objectifs avec votre entreprise !

Sortez la lionne en vous et mettez vos trippes sur la table !

Bon courage...



D’une ex-« gênée »,



Valérie Hains

Présidente des Mamentrepreneures

mardi 7 septembre 2010

Quand les grands cerveaux se rencontrent…





Connaissez-vous l’effet « mastermind » ? Non ? Il est temps de vous y mettre mesdames si vous voulez augmenter votre niveau de succès personnel, entrepreneurial et financier ! C’est ce que suggère plusieurs experts dans le domaine, dont Melanie Ward, la coach en entreprenariat féminin qui a publié un e-book qui s’intitule « The Girl’s Guide to Marketing ».



Il y a un vieux dicton qui dit quelque chose du genre : « Dis-moi qui sont tes amis et je te dirai qui tu es ! ». Un vieux concept qu’on a dépoussiéré et repris dans le monde des affaires d’aujourd’hui. Si vous regardez autour de vous, vous constaterez que c’est vrai la plupart du temps. Alors qui êtes-vous et avez-vous les « bons amis » pour vous permettre de vraiment réussir votre vie ? Personnellement, je ne suis pas prête à mettre une croix sur mes « mauvais amis », même si Facebook me permet de le faire en un clic…mais je me promets de passer plus de temps avec ceux qui vont m’amener là où je veux.



Donc, selon les spécialistes, il est important de s'entourer de grands penseurs, les « Big Thinkers ». Des gens qui sont en mouvement, qui favorise l'apprentissage , et qui envisage la réussite comme un mode de vie . Lorsque vous êtes en présence de ces grands penseurs , vous seriez naturellement portées à avoir plus d'idées et ceux-ci vous encourageraient à les explorer au maximum. C'est pourquoi, la rencontre des grands esprits serait si puissante.



Les avantages sont donc nombreux et à ne pas négliger. Voici quelques résultats intéressants. Les membres de ces groupes « mastermind » ont pris des mesures qui leur ont permis d'atteindre leurs objectifs plus rapidement . Ils sont inspirés par les actions des autres dans le groupe et cela les pousse à travailler vers des buts qui nécessitent un plus grand risque que ce qu'ils sont habitués à prendre.



De mon côté, je n’ai jamais participé à ce genre de groupe, mais j’avoue que l’idée me plaît vraiment. Je trouve cela logique et plein de bon sens. J’imagine un genre de cercle ou club privé, de 3 ou 5 personnes, inspirantes, créatives, ambitieuses, auquel j’appartiendrais. Celui-ci aurait des règles bien précises, un code d’éthique à respecter et des rencontres régulières seraient prévues. C’est vrai que vu sous cet angle, j’aurais envie de prendre encore plus de risques puisque j’aurais une brigade pour voler à mon secours en cas de chute libre.



Et vous, que pensez-vous de ce type de groupe ? Faites-vous déjà partie d’un de ceux-là ? Avez-vous envie d’en créer un ? J’attends vos réactions…car deux cerveaux valent mieux qu’un !

vendredi 3 septembre 2010

Êtes-vous une « lifestyler » ?

D’abord, je suis heureuse de reprendre en charge l’animation de ce blogue destiné aux mères entrepreneures. Il y a tellement à dire sur le phénomène des « mompreneurs » qui prend de plus en plus d’ampleur à l’échelle internationale, au Canada et depuis quelques années, chez-nous au Québec.

Ce matin, en « googlant », je me suis arrêtée sur un article, paru il y a environ 5 ans, dans Le lien économique, un magazine ontarien. Celui-ci dépeignait le portrait des femmes entrepreneures au Canada et en Amérique du Nord. Bien sûr, vous ne serez pas surprise d’apprendre que le nombre de femmes en affaires est en croissance. Qui sont ces femmes et pourquoi font-elles ce choix ?

En effet, au Canada, plus d’un tiers des travailleurs autonomes sont des femmes. Les experts de la CIBC indiquent qu’à ce rythme, les femmes dirigeront plus d’un million d’entreprises au Canada d’ici la fin de la décennie. Mais qu’est-ce qui les différencie des hommes entrepreneurs ?

La plupart d’entre elles sont instruites et possèdent un diplôme post-secondaire. De plus, elles préfèrent travailler quelques années pour une entreprise avant de démarrer la leur, question d’acquérir de l’expérience et de l’assurance. Elles évoluent principalement dans le secteur des services, mais nous les retrouvons aussi dans une diversité de domaines. Elles possèdent, en général, de plus petites entreprises qui ne comptent pas ou peu d’employés. C’est probablement ce facteur qui expliquerait des revenus moindres à ceux des entreprises dirigés par de hommes. Cependant, l’enjeu majeur de cette différence se reflète dans cette statistique tirée d’une étude de la CIBC : « Plus de 70 % des femmes chefs d’entreprises sont mariées et près du tiers d’entre elles ont des enfants âgés de moins de 12 ans. »

Les experts en arrivent donc à la conclusion que les femmes entrepreneures seraient des «lifestyler ». En d’autres termes, elles préféreraient préserver un équilibre travail-famille plutôt que de miser sur la croissance de leur entreprise. Qu’en pensez-vous ? Êtes-vous une «lifestyler» ?

Personnellement, au début, ça m’a un peu offusquée…comme si l’histoire se répétait! Encore une fois, les femmes et surtout les mères entrepreneures se retrouvent au bas de l’échelle. Elles ne font pas de la grosse « business ». Elles font des « petites affaires » de femmes. Puis, après y avoir bien réfléchi, j’ai compris qu’on avait une façon différente de gérer la croissance de nos entreprises.

On a une approche « long terme ». On avance tranquillement, mais sûrement ! De par nos responsabilités familiales, on se fixe des objectifs réalistes en fonction de notre charge de travail. On privilégie la liberté de choisir un horaire qui nous convient, de travailler à partir de la maison ou d’avoir un petit local. On peut choisir d’accompagner notre fille à une sortie avec l’école ou de rester avec notre petit dernier qui s’est levé fiévreux. On peut aussi choisir de profiter du soleil et de la piscine par une belle journée ensoleillée. Bien sûr, notre entreprise n’a peut-être pas un chiffre d’affaires dans les 7 chiffres, mais notre vie, notre équilibre de vie, dirai-je, vaut bien plus que bien des millions.

Finalement, oui, il avait raison le journaliste du magazine, nous, les mères entrepreneures, sommes profondément des « lifestyler ». Je suis une « lifestyler » et je suis fière de l’être ! Dans dix ans, quand mes enfants seront grands et que mon entreprise sera grande, je pourrai dire que j’ai vraiment profiter de la vie. Et vous ?

mercredi 13 janvier 2010

Lancement officiel

Lancement officiel des Mamentrepreneures...Québec, le 10 février et Montréal le 11 février ! Surveillez les détails et surtout réservez votre soirée pour la passer avec nous !